Les secrets de John Carter
J'ai récemment visionné le film John Carter et je voudrais partager les "messages subliminaux" qui m'ont sauté aux yeux. Aussi j'ai trouvé ce film très bien, malgré les nombreuses critiques négatives ou mitigées à son sujet. Il est fait allusion à de nombreux sujets occultés par la sphère "bien-pensante" mais que la science-fiction peut se permettre de montrer au grand jour. C'est une adaptation du roman "une princesse de Mars", de Edgar Rice Burroughs.
Il y est question de :
-
- la Déesse, symbolisée par l'Araignée. C'est un symbole bien connu des indiens Hopis d'Arizona. Dans le film elle n'a pas 8 mais 9 "pattes", c'est à dires 9 rayons de force créatrice (ou destructrice). On peut faire le parallèle avec les 9 mondes attachés à l'arbre de vie, l'arbre kabbalistique des juifs ou l'Yggdrasil dans la mythologie nordique, ou encore l'Hunab Ku des Mayas... Le tronc représente toujours l'axis mundi, au centre de la matrice de l'univers, et d'où part toutes les dimensions spatio-temporelles et les forces leur correspondant.
Dans le film, à un moment John Carter est poursuivi par des indiens Apaches mais ceux-ci s'arrêtent et rebroussent chemin lorsqu'ils aperçoivent le symbole de l'Araignée gravé sur l'entrée de la caverne où JC s'était réfugié : ils savent qu'ils entrent en territoire sacré.
-
- les Tharks, de grands martiens verts à quatre bras au tempérament guerrier. Ces personnages dans le film font penser aux "extra-terrestres" reptiliens Annunakis, les "dieux" autoproclamés de la Terre dont une base se trouvait justement sur Mars (notamment selon Anton Parks mais aussi Zecharia Sitchin). Selon les visions de Nora Parks, les Annunakis de Mars faisaient travailler des humains "blancs" (les humains qui vivaient alors sur Terre avaient la peau noire). C'est une nouvelle race humaine créée par la déesse Ninmah et qui constitueront une part importante des Atlantes sur Terre.
Dans le film, les hommes de la race humaine ont la peau cuivrée et sont appellés les "hommes rouges" (on est pas loin des "peaux-rouges") et sont divisées en deux clans rivaux : les hommes de la citée de Zodanga et ceux d'Hélium.
Les chefs d'Helium
Le roi de Zodanga est un tyran à qui des êtres immortels ont donné une arme redoutable utilisant le neuvième rayon de l'Araignée.
- - les Therns sont ces êtres immortels pouvant prendre n'importe quelle apparence, intervenant dans tous les camps et faisant office de maîtres du jeu dans un plan dont eux seuls semblent connaître toute l'envergure. Ils disent servir la Déesse. Etonnant comme leur attitudes sont similaires à ceux des agents du film "L'Agence" ou de ceux des films "Matrix". Aussi font-ils penser aux Q de la série Startrek.
Ils font penser aux Veilleurs de la Bible, aux Elohims ou aux Archontes dont il est question dans les textes Gnostiques. Pour ma part j’aurais tendance à y voir des archétypes vivants ou des égrégores de formes-pensées agissant rétroactivement sur le monde humain qui est en fait un prolongement du leur (sorte de relation symbiotique). Dans les mythologies ils sont nommés les «Dieux» et semblent s'apposer hiérarchiquement comme étant au-dessus des autres races Extra-Terrestres. Peut-être le sont-ils d'un point de vue strictement technique et matériel, si l'on envisage qu’ils puissent effectivement être capables d'adapter toutes les formes.
-
- la déesse Issus. Il s’agit du nom de la Déesse que disent servir les Therns, il est phonétiquement très semblable à Isis. Dans le film, toutes les races de Mars dont les Tharks la vénèrent, qu’ils soient rivaux ou non. John Carter et la princesse Dejah Thoris entrent dans son sanctuaire et découvrent qu’il faut suivre le fleuve Is jusqu’aux portes d’Is. Ils y vont et découvrent une sorte d’arbre dans lequel ils entrent (référence à l’arbre de la connaissance ?) Puis à l’intérieur se dévoile le mystère des neuf rayons où chacun d’eux mènent à une planète du système solaire.
La princesse Dejah Thoris dans le sanctuaire de la Déesse
John Carter et Dejah Thoris comprennent la fonction des 9 rayons en déchiffrant des bribes d'un message composé de cunéiformes sumériens.
Les écrits sumériens sont justement la base du travail de l‘écrivain Anton Parks. Et les visions de sa femme Nora rapportent qu’à un moment donné la déesse Isis aurait été retenue captive sur Mars par son «époux» qu’elle n’aimait pas. Il y a une similitude avec la princesse Dejah Thoris qui se voit obligée d’épouser le roi Sab Tan pour préserver une paix artificielle entre les cités d’Hélium et de Zodanga. Notez que l’on peut remarquer dans le nom «Dejah Thoris» un rappel homophonique de Hathor, une déesse égyptienne apparentée à Isis. Aussi dans le nom «Sab Tan», il suffit de retirer la lettre «b» pour révéler un nom synonyme de «mal» dans l’imaginaire collectif.
Ensuite dans le générique de fin on prendra conscience de tout ses fils rouges qui relient entre-eux d’anciens sites et des dessins d’Extra-Terrestres dans une sorte de maillage qui fait écho à celui dessiné sur une carte au début du film. Ceci fait penser à un maillage de forces cosmo-telluriques reliant les sites clés des civilisations de l’Histoire.
Maillage sur la carte au début du film
Aussi un décryptage du film a t-il été effectué par un certain Richard Hoaglang (seulement en anglais) :
Et pour aller plus loin... jusque dans la réalité marsienne underground :
http://urmah-2012.blogspot.fr/2012/05/basiago-et-eisenhower-revelent-le.html
Y aurait-il donc une science à deux vitesses ? Alors que les premiers (?) pas sur la Lune était rendu public, des hommes allaient-ils déjà en secret sur Mars ?
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 45 autres membres