La politique : le plomb de l'or du "peuple"
Les politiques et les familles qui les contrôlent sont un peu des "dindons de la farce" si je puis dire. Ils sont pris en étau entre le peuple qui s'éveille et des êtres du cosmos appelés des dieux, qui les dirigent depuis les coulisses : à droite, à gauche, suivant leurs humeurs et leurs querelles intestines (à l'image de ce que font les politiques avec le "peuple" par exemple).
Hors il y a quelque chose d'important.
Ce quelque chose c'est que les intelligences que vénèrent les familles de la "noblesse noire" ne sont autre que des extensions archétypales vivantes d'eux et de nous (le "nous" en tant que collectif terrien). Ces intelligences cosmiques représentent les racines de la conscience collective, puisant dans chacune des consciences individuelles. Ils représentent aussi le divin expérimentant la séparation, au même titre que nous en tant que terriens, à la différence que nous avons (apparemment) plongé dans l'extrême limitation de la conscience, avec l'oubli des pouvoirs universels inhérents aux dieux.
Les racines divines plongent en chacun de nous, quoiqu'en pense les lignées directe au pouvoir : c'est notre héritage génétique commun et surtout spirituel. Les dieux ("anges déchus" dont nous sommes les prolongements) nous ont légués leurs gènes, avec d'autres êtres moins dans le pouvoir et plus dans les énergies souples de l'Un donc. En tant qu'humains nous représentons une soupe primordiale où les énergies opposées peuvent retrouver l'or de la conciliation.
Les dieux sont des intelligences représentant des archétypes individualisés. Ils le sont par leur chute hors de l'Unité. Ils ont créés des univers dans les ténèbres plus ou moins épaisse de la séparation en tissant des fils de lumière. Ces fils de lumière ce sont peut-être notamment nous en tant qu'humains cachant en eux La perle de la divinité unie.
Nos doutes, nos désespoirs, proviennent de notre part qui a le sentiment d'être séparé et qui juge tantôt soi-même, tantôt les autres pour cela. Hors c'est justement cette part qui juge qui représente ce que l'on nomme communément le mal. C'est une part qui attend de l'attention et de la guérison, du lâcher-prise et du pardon, du : "tout se passe bien, le soleil est toujours au-dessus des nuages". C'est un peu le serpent qui se mord la queue. C'est le "mal" qui juge "le mal". Le "mal" disparaît peu à peu en se transmutant lorsqu'on l'éclaire de sa compréhension.
Et tout est lié : les énergies du cosmos et l'action de leurs "technocrates" sont à l'image de la conscience collective dont chacun représente une cellule prismatique. Donc une cellule solidaire plutôt que solitaire, assoupli par son lien conscient à la Source, change le Tout. Le Tout étant inclu en chacun comme chacun est inclu en lui.
La véritable alchimie que chacun fait plus ou moins consciemment dans le creuset de ses corps : il participe à la transmutation du plomb en or. Ce plomb c'est une matière première, tant individuelle que collective donc, qui a le potentiel de retrouver la noblesse qu'elle avait "autrefois" lorsqu'elle n'avait pas encore été enfantée en partant de la Source. Ce que nous nommons les ténèbres découlent de la Lumière de la Source. Celle-ci a décidée de s'étendre et c'est pourquoi des "anges" et des "dieux" ont dû ou pu choir dans l'illusion de la séparation. La création depuis les mondes de la séparation illusoire enrichie la Source de la notion de solution. A la Source il n'y a pas de problème ni même de notion de problème puisque tout est Un sans dualité. Et sans problèmes il n'y a pas de solutions, c'est à dire pas d'expérience de pertes, de doutes, de recherches, et de retrouvailles ! C'est un jeu pour une vaste expérience... qui n'a pas de nom mais que l'on nomme amour.
C'est la perle cachée au fond de tous les océans. C'est la perle de Shiva, de Saturne, de Cronos, le dieu vengeur et cruel, le plomb, le Satan qui (s')attend de s'éveiller du Rêve et retrouver la paix que les élites terriennes ne semblent pas vouloir lui donner, d'une certaine manière. Avec jeux de maux, il s'attend. Nous nous attendons et nous nous réveillons aussi, chacun à son rythme, chacun en son temps.
Les temps se croisent comme les métaux vils et précieux se rencontrent pour le grand oeuvre du temp final.
L'âge d'Or frappe à notre porte comme autant de soldats de plomb...
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