Lors d'un rite initiatique décrit dans le livre d'Anton Parks "les étoiles sombres", premier tome des chroniques de Girku, Sa'am/Enki ingère une substance métallique. Pourrait t-il s'agir d'or monoatomique ?
D'après certains auteurs, notamment David Icke, cette substance aurait la propriété de doper la capacité à se brancher sur d'autres fréquences. Elle était sans doute utilisée par les pharaons et anciens rois pour légitimer leur pouvoir spirituel.
Voici un passage d'un ouvrage de David Icke ("Le plus grand secret") :
..."Sans entrer dans des détails scientifiques, lorsque vous consommez cet or monoatomique par ingestion buccale ou par injection, il augmente des dizaines de milliers de fois la capacité de transmission du système nerveux. Cela permettrait à une personne de traiter une fabuleuse quantité d'informations comme le ferait un superordinateur et lorsqu'une quantité suffisante d'or est absorbé, cela leur permet de se mouvoir consciemment dans d'autres dimensions et de permuter de forme parce que le cerveau active soudainement ces vastes régions que nous n'utilisons pas dans notre monde actuel."...
..."Je suis convaincu que les anciens Egyptiens, Sumériens, Babyloniens et Phéniciens en faisait usage, ou plus exactement l'élite au pouvoir, leur procurant ainsi des capacités inaccessibles à la population en général"...
Hors cette "potion magique", Saa'am l'ingérait toujours après avoir bu d'une autre substance....
Sir Laurence Gardner, lors d'un colloque NEXUS en Australie, déclare ceci : "La vrai lignée du Graal a commencé avec les Dieux Annunaki au sud du Pays de Sumer il y a au moins 6000 ans et elle s'est perpétuée grâce à l'ingestion d'une substance appelée "le feu céleste".
Il s'agirait de ceci :
... "Au sens strict du terme, le feu céleste originel était l'essence lunaire de la déesse", mais, même dans un milieu terrestre ordinaire, le sang menstruel contient les sécrétions endocriniennes les plus précieuses, notamment celles de l'épiphyse et de l'hypophyse."...
..."Une fois que les Annunakis eurent quittés le pays de Sumer, les maîtres artisans choisis développèrent un substitut du feu céleste; un pain mystique fabriqué à partir de la poudre blanche alchimique de l'or"....
...."il découvrit que non seulement la poudre de la noble pierre de feu est capable d'élever la conscience humaine, mais que c'est aussi un supraconducteur monoatomique sans aucune attraction gravitationnelle"...
Tout au long de l'histoire, de Babylone jusqu'aux alchimistes du Moyen-âge, il est question d'une mystérieuse poudre blanche d'or aux propriétés mystérieuses. Elle est nommée "mfkzt" ou nourriture sheffa chez les égyptiens, "pierre philosophale" chez les alchimistes comme Nicolas Flamel, "pain de la présence" dans l'ancienne bible des Septante, manna chez les israélites ou encore Shem-an-na chez les babyloniens. Voici un découpage de ce dernier terme en sumérien :
SIM, SEM (accent sur le "s", se prononçant comme le "CH") : résine, épice, flagrance, parfum
AN : le ciel, le divin, le paradis
NA : encens, être humain
Une traduction pourrait être : "l'épice de l'homme divin" ou "la divine résine de l'être humain" ou encore : "l'encens de la divine résine"
Il est intéressant aussi de découper le mot MANNA, autre nom de la poudre mfkzt qui rappelle le MANA des Maoris (équivalent du PRANA indien). Pour eux le mana représente le pouvoir imprégant plus ou moins toute chose et les reliant ensemble.
MA : lier, relier
AN : le ciel, le divin, le paradis
NA : être humain
MA - AN - NA : "qui lie le divin à l'homme" ou "qui lie l'homme au divin" ou encore : "l'encens divin qui relie"
Le mot MANA quant à lui se décompose en :
MA : lier, relier
NA : encens, être humain
MANA : "qui relie l'être humain" ou "l'encens qui relie"
La différence entre MANNA et MANA c'est que le premier est une substance artificiellement créée afin de doper certaines facultés extrasensorielles (=> danger pour une personne spirituellement non mûre). Le second est un pouvoir inhérent à toute être et toute chose, il imprègne naturellement tout ce qui existe, suivant sa mise en capacité à l'accueillir.