Une autre histoire, sur la piste des Dieux

Une autre histoire, sur la piste des Dieux

Christophe Colomb, un vengeur masqué ?

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Quelles sont les véritables raisons qui motivèrent Christophe Colomb à partir explorer de nouvelles terres ?

 

Chacun sait qu’en 1492 Christophe Colomb est censé avoir découvert l’Amérique (mais en fait Leif Eriksson, le fils d’Erick le rouge, l’avait redécouvert bien avant lui. Certains Templiers héritiers des Vikings lui léguèrent certainement leurs cartes…) Or cette même année de 1492 est signé le décret de l’Alhambra exhortant les juifs séfarades à quitter la péninsule ibérique.
On peut légitimement se demander si le célèbre navigateur n’était pas un marrane, ou converso (juif caché sous couvert de conversion au catholicisme). Dans ce cas il est fort compréhensible qu’à cette époque il cherchait activement une terre d’accueil pour ses coreligionnaires juifs, alors persécutés par l’Inquisition et contraints à se convertir de force sous peine d’être tué.

 

« Christophe Colomb supposé Marrane par de nombreux historiens : les preuves des origines Juives de sa mère sont nombreuses. Je viens de découvrir une nouvelle preuve : l’astrolabe instrument de navigation perfectionné par Abraham Zacuto était écrit en hébreu et n’avait pas était encore traduit quand débutèrent les premières découvertes. Comment Christophe Colomb a-t-il pu le lire ?

Comment ne pas s’interroger sur le désir supposé du grand navigateur de trouver une terre d’accueil  pour les Juifs expulsés d’Espagne. C’est d’ailleurs le conseiller du roi d’Espagne, le Marrane Luis de Santangel qui, devant les réticences de Ferdinand de Castille et d’Isabelle la catholique aidera le célèbre navigateur. Il proposera de soutenir lui-même financièrement le projet de Christophe Colomb pour trouver une nouvelle route des Indes. Il gardait surement l’espoir que cette route serait celle de la délivrance des Marranes Espagnols. »

(Source : https://www.coolamnews.com/marranes/ )

 

Il est significatif et révélateur que Christophe Colomb était accompagné du marrane Luis de Torres, spécialiste de l’hébreu. Ce qui est plutôt logique, si sa mission secrète consistait en fait à naviguer sur les traces des tribus perdues d’Israël… En effet la légende voulait que, au-delà de l’immense étendue d’eau, les tribus perdues d’Israël avaient réussi à établir un royaume indépendant (c’est ce que penseront aussi les Mormons).

Les marranes-conversos opprimés d’Espagne ont-ils financé l’expédition en coulisse afin de trouver un havre de paix pour leurs frères ? Ils nourrissaient sans doute un sentiment identitaire et atavique qui les poussait à rechercher une Terre Promise libératrice. Afin de mener à bien leur projet, firent-ils alliance avec les Templiers qui avaient fuit l’Inquisition ? C’est bien la fameuse croix pattée rouge qui est arborée sur les voiles des caravelles de Colomb et non les couleurs du royaume d’Espagne…

Des signes

Colomb utilisa des symboles énigmatiques sur plusieurs documents. Ainsi, chacun des manuscrits envoyés à son fils Diego contenait, dans le sommet de l’angle gauche, les lettres hébraïques Beit-Hei, signifiant « B’ezrat Hachem » (« avec l’Aide de D. »). En effet il était coutumier pour les Juifs traditionalistes d’ajouter cette marque de bénédiction à leurs courriers. Ainsi aucune de ses lettres à l’intention d’étrangers ne porte cette marque : la seule lettre à Diego dans laquelle ces signes sont omis était destinée au Roi Ferdinand…

De plus Colomb ne signait pas de son nom sur ses documents personnels. Au lieu d’une signature, il utilisait un symbole secret : une signature triangulaire faite de points (cela fait penser aux 3 points en triangle des futurs Franc-Maçons). Or ces lettres ressemblent à des inscriptions trouvées sur les pierres tombales des cimetières juifs en Espagne. Il avait demandé à ses héritiers de continuer d’utiliser cette signature énigmatique. Selon « l’Histoire des Marranes » de Cecil Roth, cet anagramme était un substitut scripturaire pour le Kaddish, une prière récitée à la Synagogue après le décès d’un parent proche. 

Ironie de l’histoire

Colomb, le crypto-juif, censé participer à la volonté d’évangélisation, prendra possessions des terres conquises au nom des rois catholiques espagnols. 

Pourtant, une de ces terres, la Jamaïque, devint « l’île aux hérétiques », la place forte des pirates dont les galions espagnols constituaient des cibles de premiers choix. Des pirates, dont nombres de marranes déguisés en évangélisateur furent les « cerveaux ».

 

« Les pirates juifs 

 

En position de se venger des souffrances infligées par l’Espagne, beaucoup de réfugiés séfarades s’investissent dans l’une des activités les plus florissantes de l’époque : La Piraterie…et seulement contre les navires Espagnols.

En méditerranée, les marchands Juifs finançaient les razzias dévastatrices des  Maures lors des raids barbaresques sur les côtes des provinces Espagnoles. Il y eut même des pirates Juifs d’ascendance Espagnole en Tunisie et au Maroc.

A Tunis, le Juif Sinan allié des Turcs et du célèbre Barberousse, (Sinan que l’on appelait le « fameux pirate Juif »), prit sous son commandement le 20 Aout 1534, une centaine de bateaux pour le compte de Soliman le Magnifique et occupa le port de Tunis jusqu’alors une possession Espagnole stratégique. Il empêche ainsi les navires Espagnols de naviguer librement en méditerranée après la première conquête d’Alger par Barberousse. »

(Source : https://www.coolamnews.com/marranes/ )

 

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Pour en savoir plus :

 



21/09/2019
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